Le
Clos Gentil était dirigé par la famille Routier et se trouvait à mi-chemin
entre le Chambon et le collège.
Un lieu, quelques années, vus de notre adolescence
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Comments
Suite à une altercation avec Monsieur Sanum (paix à ses cendres il avait eu du courage de me supporter) mes parents ont préféré me mettre au Clos Gentil pour mon année de terminale (68/69).
sam debardJe dois dire qu'avoir une chambre individuelle était un luxe formidable à l'époque... Je me rappelle Monsieur Routier qui claquait dans ses mains à 6H45 pour nous réveiller. Les repas "pantagruelesques", et la mixité au sein du même bâtiment.
A cette époque il y avait 4 élèves africains dont l'un était fils de ministre et avait passé son bac avec moi.
Les détails sordides étaient que chaque fois qu'il nous était servi du boudin, ils étaient morts de rire...
Détail croustillant , quand ils montaient vers le batisco depuis le Clos Gentil, ils marchaient toujours l'un derrière l'autre, le plus petit devant le moyen au milieu et le grand derrière. Impossible de me souvenir de leurs noms.
Le 4ème larron qui était en 1ère, avait un nom imprononçable :N'GBWA, et pour lui parler Monsieur Routier de sa voix de gendarme préférait épeler son nom.
Je revois régulièrement Hervé et Pascale Routier au Chambon.
Les autres complices de cette heureuse année, à la fin de laquelle je me demande encore comment j'ai pu avoir mon bac étant donné que je n'avais strictement rien foutu, furent mon vieux pote Patrice Elmer, Bourgary et Claude Dubarry.
J'ai passé mes deux années, 1C et TC, 1979/1981, au clos gentil. D'accord, le clos gentil était plus loin que milflor, mais j'y avais ma chambre individuelle avec vue imprenable sur le mézenc, et la proximité du village. Et "la ballade " clos gentil - le luquet, en plein hiver dans la neige avait quelque chose d'irréel, c'était une vrai bouffée d'oxygène pour commencer la journée le matin. J'en garde un souvenir mémorable avec Annie Jouve comme maîtresse d'internat, il y avait une bonne ambiance qui n'empéchait pas les bonnes disputes, voir des bagarres !
lalaoniainaUn an fabuleux au Clos !
gabyTrois étages, un par classe, balcon, salle polyvalente et porte bloquée par la neige ...
A mon époque on y mettait les cas un peu embêtants !
Et les douches au sous sol !!
Été 56 et été 57, je suis "en villégiature" avec ma famille dans la pension de famille le Clos Gentil, la propriétaire est Madame Gallo (orthographe !). Les bois sont alors tout proches ; il y a des balançoires, les nuits sont très noires, j'use mes fonds de culotte en glissant sur un talus en pente. Un jour d'orage, la foudre tombe juste derrière le Clos, un bruit phénoménal ébranle les murs, l'effroi absolu !
Hélène BessenayJ'ai alors 6 ou 7 ans.
Mon premier internat : 1985/1986 ... Les batailles générales de boules de neige, les douches en sous-sol, et pleins de souvenirs de cette super époque de liberté ...
Jean-Charles