Petites et grandes histoires du Collège Cévenol

Un lieu, quelques années, vus de notre adolescence

To content | To menu | To search

Tag : Bourquin Gilles

Les classes de 3ème (67/68) puis 2nde (68/69) | Comments: 2

Cette année là (67/68), dans quelle baraque étaient donc les internes de troisième ? Certains d’entre eux étaient déjà logés en pension tel que Marc Murray à l’Accueil Fraternel : Jacques Cabuzel Jean-Luc Coignet Michel Dubois François Durdilly

Continue reading

Rallye Vélo (2 et 3 juin 68) | Comments: 12

Le weekend de la pentecôte, le collège organisait chaque année son fameux Rallye-vélo. Mon frère et moi avions hérité des vélos avec lesquels nos parents avaient découvert notre maison en limousin, 6 ans auparavant. Nous étions haut perchés sur ces deux vélos d’adultes. L’ainé avait forcement celui du père, bleu, avec un dérailleur à trois vitesses. J’avais pour ma part hérité de celui de ma mère, jaune, sans vitesse, heureusement ( ?) sans barre transversale. La version 68, 8ème du nom s’intitulait « Brume et vent ». Elle se déroulait du dimanche 2 juin à partir de 13 h (départ toutes les 3 minutes) au lundi 3, vers les 19h. Les équipes étaient chacune composées de trois élèves, de préférence de même sexe et de même âge (« tendres », « farfelues » et « dures ») avec des coefficients compensateurs. Le dimanche soir nous dormîmes dans une grange à foin après l’incontournable veillée. Pour la route nous devions être équipées d’un vélo en bon état, rigoureusement contrôlé, mais aussi d’un bon pull, d’un vêtement de pluie et d’un maillot de bain, … Pour la nuit, notre équipement était pré-transporté avec notre sac de couchage, nos affaires de toilette, et des vêtements des rechanges. Et pour la veillée, chaque équipe devait bien évidemment avoir préparé une chanson, un mime, ou une scène de théâtre …

En y songeant aujourd’hui, dans mes brumes neuronales, il me semble que je garde à la fois le souvenir d’une épreuve difficile (physiquement) , valorisante (fierté) et chaleureuse (équipe). Me souviens-je de la paille de la grange ? Difficile à déterminer, j’ai eu d’autres occasion à cette époque et plus tard encore de passer une nuit dans l’inconfort de ces tiges dures et de ces poussières pénétrantes. Bien en deçà du mythe du parfum bucolique et de la douceur champêtre.

Voici la liste retrouvée de tous les participants tel que portés sur la feuille de contrôle :

Continue reading

S'abonner

Sommaire