Ce n'était pas du peanut butter ! C'était de la Dakatine, en grosse boîte de
conserve industrielle, avec de l'huile qui flottait sur le dessus ! Pas grand
chose à voir quand on aime le peanut butter, le vrai, le crunchy, mmmhh ... (En
Afrique, on utilise la Dakatine comme ingrédient dans le maffé et certaines
spécialités !)
Ce qui était sympa, c'était surtout l'ambiance à la cantine, pour nous à midi.
Le soir, nous dînions à Milflor, avaient-ils peur de nous laisser sortir le
soir ? Ou jugeaient-ils les mélanges plus dangereux le soir ? La préparation
des repas, le service, la vaisselle, comme le ménage, faisaient partie de nos
tâches quotidiennes, attribuées par trimestres. Il ne fallait pas être de
service de table le dimanche soir, cela forçait à monter plus tôt pour mettre
la table et cela coupait LE film du dimanche après-midi au ciné du Chambon (la
grande distraction) ! Je me souviens avoir monté la mayonnaise à la main pour
80 personnes plus d'une fois, dans cette cuisine dont j'ai vu à la Pentecôte
qu'elle n'existait plus aujourd'hui à Milflor, peut-être parce que c'est devenu
un internat de garçons.
Comments
Jean Pierre et Marc, j'ai oublié les noms de famille.
malini sanumC'était pas Marc Bollon au fond?
marie-christine arneraJean-Pierre Jouve, si mes souvenirs sont bons. Autant que ses plats! Moi, je trouve qu'on bouffait bien au Collège, n'en déplaise à certains!
Philippe GuibalD'accord avec Philppe on mangeait bien au Collège.
frédéric girardonEn alternance le matin Poridge et peanut
Jean Garriguesau fond c'est MARC ROCHE.
sadaf golestanPas d'accord, le peanut butter, c'était essentiellement le week-end
Frédéric FreudigerCe n'était pas du peanut butter ! C'était de la Dakatine, en grosse boîte de conserve industrielle, avec de l'huile qui flottait sur le dessus ! Pas grand chose à voir quand on aime le peanut butter, le vrai, le crunchy, mmmhh ... (En Afrique, on utilise la Dakatine comme ingrédient dans le maffé et certaines spécialités !)

Caroline Cruse (1963-67)Ce qui était sympa, c'était surtout l'ambiance à la cantine, pour nous à midi. Le soir, nous dînions à Milflor, avaient-ils peur de nous laisser sortir le soir ? Ou jugeaient-ils les mélanges plus dangereux le soir ? La préparation des repas, le service, la vaisselle, comme le ménage, faisaient partie de nos tâches quotidiennes, attribuées par trimestres. Il ne fallait pas être de service de table le dimanche soir, cela forçait à monter plus tôt pour mettre la table et cela coupait LE film du dimanche après-midi au ciné du Chambon (la grande distraction) ! Je me souviens avoir monté la mayonnaise à la main pour 80 personnes plus d'une fois, dans cette cuisine dont j'ai vu à la Pentecôte qu'elle n'existait plus aujourd'hui à Milflor, peut-être parce que c'est devenu un internat de garçons.