Combien de fois ais je emprunté ces chemins pour aller me restaurer?
il
fallait avoir faim pour quitter cette douce chaleur de nos internats et
avoir
le courage par tout temps de faire un petit kilomètre de marche afin d'arriver
au retaurant.
Oui, mais quel environnement fantastique; je ne crois pas que beaucoup de
jeunes, à notre époque, vivait cela;
Il est vrai que l'hiver c'était rude mais ô combien sain
Comments
Combien de fois ais je emprunté ces chemins pour aller me restaurer? il
Frédéric Girardonfallait avoir faim pour quitter cette douce chaleur de nos internats et avoir
le courage par tout temps de faire un petit kilomètre de marche afin d'arriver au retaurant.
Je crois que c'est Elisabeth Martin qui lutte dans la neige pour rejoindre sa pension...
Roland MayerOui, mais quel environnement fantastique; je ne crois pas que beaucoup de jeunes, à notre époque, vivait cela;
Frédéric FreudigerIl est vrai que l'hiver c'était rude mais ô combien sain